VEF Blog

Je quitte Savona en ce 28 février 2015. Au moment d’aller régler ma note à la capitainerie, j’ai aperçu une femme qui était couchée sur le quai…

La météo annonce NNW 3 à 5, mer belle à peu agité, ça devrais bien avancer à la voile… 32M jusqu’à Camogli…c’est pas mal… mais il fait beau et le moral aussi !

                        Cette fois, le pont n’a pas trainé pour la lever. Faut dire que c’est le WE et il y a pas que moi qui veux sortir !

                                                          Passage devant la fameuse Torre Pancaldo (au 1^e plan, bien sûr !)

La tour a l’air de pencher ! Une manie Italienne surement…

En passant, j’ai croisé des peintres, italien bien évidement…un peu à gauche, y a un manque… ils m’ont répondus : « va fon culo » ce qui se traduit par: je vous pris de nous excusez  monsieur, mais nous ne comprenons pas le français !

                          Apres avoir pris des conseils au pres d’otoctones, j’ai pris la decision de ne pas m’arreté à Genes.

En effet, il parait que c’est sale, l’air y est irrespirable, les pickpokets sont legion, la vie est tres chere, les habitants sont aressif, les chiens défequent sur les trotoirs, les agents municipaux ne foutent rien, la police municipale,et oui ellle aussi, met des PV aux voitures bien garrés…j’en passe et des meilleures !

En resumé, la ou il y a de la Genes, y a pas d’plaisir !

Il y a du monde en mer, certain ne sont pas tres douer…

ca s'appelle:desalage...

D’autres sont pressés comme…des lavements (c’est une image poétique !)

Grimaldi… (Pour les connaisseurs…)

Un peu avant d’arrivé à Camogli et non loin de la cote, j’ai croise plusieurs d’dauphins femelles qui ne s’intéressaient pas du tout au Taja ainsi qu’a son capitaine.

Vous allez me dire : «  comment sais tu que ce sont des femelles ? »

Et bien c’est simple, l’eau de la mer étant très froide, il ne peu y avoir de malles car ils se gèleraient les c… mais parlons d’autres choses…

Et voici Camogli C’est beau, n’est-ce pas ?

Oui mais, comme vous pouvez le voir, il y a de gros travaux à l’entré du port, ce qui n’empêche pas de passer, certes, mais la barge avec la grue à une amarre tout le long du quai d’accueil, ce qui ne m’a pas permis d’accoster.

                                                     Je vous épargne la manœuvre de demi-tour dans le port qui est minuscule.

Avec en plus les encouragements du grutier : « Te ne puoi andare a fan culo, se non ti piace » ce qui se traduis par : je vous pris de faire vite, monsieur, car nous sommes payés à la tache…ou un truc dans se genre…

Bon après preste réflexion et la consultation du guide nautique, j’ai cru judicieux de pousser 8M plus avant en direction de la petite ville de Santa Margherita.

A l’arrivé, l’ormeggiatori (comme si c’était une personne qui fait partie des autoritées du port, mais ce lui qui encaisse et c’est legal !) m’as aidé en prenant mes amarres et en me donnant la pendille. Comme il commencait a faire jour foncé, quand je lui ai presentais les papier du bateau, il m’a dit : « domani » ce qui se traduit par : demain.